TOUT SAVOIR pour préparer votre chemin de pèlerin vers Compostelle, Rome, Shikoku, Assise, etc : informations pratiques INEDITES, revue de presse internationale EXCLUSIVE, être HOSPITALIER, PORTRAITS, fiches détaillées sur mes HEBERGEMENTS, etc…
Éric Laliberté est doctorant en théologie et agit comme observateur-participant dans le milieu du pèlerinage de longue randonnée, au Québec et en Europe, depuis une dizaine d’années. Il est directeur et cofondateur du centre de formation et d’accompagnement : Bottes et Vélo – Le pèlerin dans tous ses états, un centre visant à soutenir le pèlerin dans sa démarche. Actuellement, ses recherches s’intéressent à l’absence d’accompagnement spirituel du pèlerin-randonneur. Rédacteur d’un blogue portant sur le sujet, il est également l’auteur d’un roman voulant explorer l’expérience du pèlerinage à Compostelle, « Le champ d’étoiles ». Il est également membre étudiant de la Chaire Jeunes et religions de la Faculté de théologie et de sciences religieuses de l’Université Laval.
Il nous livre sa critique du Guide des chemins de pèlerinage du monde de Fabienne Bodan, paru aux Éditions Ouest-France fin octobre 2018. Sous deux formes : une chronique de 20 mn sur les ondes de Radio VM. Une recension sur le site web La Montagne des Dieux.
Chronique d’Eric Laliberté sur Radio VM – Québec sur le Guide des chemins de pèlerinage du monde
Le 8 janvier 2019, Éric Laliberté présentait le Guide des chemins de pèlerinage du monde dans sa chronique hebdomadaire « Mouvance contemporaine et quête spirituelle ». Sujet : Faire le tour du monde en pèlerinage. Un guide, un site (19 mn). En voici les grands traits.
Il marque quelque chose de nouveau dans ce domaine.
Un livre très bien fait, en couleur, beaucoup de photos, facile à consulter, des cartes dessinées par une jeune bretonne, Morgane Gransard, installée à Montréal.
On peut partir d’Athènes, de Varsovie, de Trondheim en Norvège. Le plus long chemin de pèlerinage part de l’Antarctique.
Le site Chemins vers le Sacré, présente bien sûr le livre, mais il veut fédérer les pèlerinages de longue randonnée dans toutes les traditions dans le monde entier (autochtones, hindous, japonaises, bouddhistes…).
Le pèlerinage ne se fonde-t-il pas plutôt sur une expérience, plutôt qu’un cheminement vers un site sacré ? Sur une expérience intérieure ? L’auteure ouvre peut-être la porte à une nouvelle définition. On retrouve par exemple dans le livre des chemins québécois qui ne correspondent pas à la définition donnée par Fabienne Bodan. Tout dépend aussi de l’intention que l’on met dans son chemin.
Beaucoup de chemins font référence à Compostelle. Un peu partout dans le monde, des initiatives sont inspirées par Compostelle. Un nouveau paradigme est en train d’émerger, et ce sera en partie le sujet de ma thèse de doctorant.
On accorde beaucoup d’importance à l’objet chemins, mais ce n’est pas là que ça se joue. Ce qui importe, c’est l’expérience. Je pense, par exemple, à cette jeune journaliste sur le Pacific Crest Trail. Elle a vécu une expérience spirituelle qui a transformé sa vie.
Recension d’Éric Laliberté sur le site La montagne des Dieux
Le directeur de Bottes et Vélo – Le pèlerin dans tous ses états présente le Guide des chemins de pèlerinage du monde sur la Montagne des Dieux, un site web québécois spécialisé dans les religions et la spiritualité.
Le pèlerin-randonneur fait de plus en plus parler de lui et son activité marquera sans doute ce siècle. Fabienne Bodan, Bretonne d’origine, le confirme par un guide de plus de 470 pages qu’elle vient de publier aux Éditions Ouest-France : Guide des chemins de pèlerinage du monde. Ayant recensé près de 800 chemins de pèlerinage, elle propose d’en faire un tour du monde, toutes traditions confondues. Cet ouvrage inédit rappelle combien cette pratique séculaire, loin de s’éteindre, continue d’en faire marcher plus d’un. Lire la suite sur le site de la Montagne des Dieux –Télécharger le PDF de l’article
Précisions de l’auteure du guide
Voyageuse plus que marcheuse. Si je voyage depuis plus de 35 ans à travers le monde, avec un Tour du Monde de 14 mois à mon actif en 1991-1992, je n’ai pas arpenté tous les chemins dont je parle dans mon guide. Une vie n’y suffirait pas. Mais j’aime marcher lorsque je voyage, car je considère que c’est le meilleur moyen d’explorer les lieux. Et aussi d’être proche des peuples des pays moins aisés que les nôtres. J’ai marché en Himalaya au Népal et au Ladakh, en Amérique du Sud en Équateur et au Chili. J’ai parcouru à ce jour 4000 kilomètres sur les chemins de Compostelle en France, en Espagne et au Portugal.
Itinéraires culturels européens. Sur les 31 à 33 itinéraires labellisés par le Conseil de l’Europe, cinq seulement entrent dans le champ d’investigation de mon ouvrage. Les autres ne sont pas des chemins praticables à pied (ou à vélo ou à cheval). Il s’agit des chemins de Saint-Jacques. De Saint-Olav. La Via francigena. L’itinéraire Sur les pas des huguenots et des vaudois. La Via Sancti Martini. Les chemins clunisiens.
La définition des chemins de pèlerinage. Vaste débat. Je me suis cantonnée à ma définition, en intégrant également les chemins inspirés par Compostelle. Ce qui est le cas de la plupart des chemins québécois. Mais aussi d’Australie. Du Brésil. D’Afrique du Sud. Je suis d’accord avec Éric quand il dit que l’expérience de la marche au long cours est profondément transformatrice. Les épopées sur les chemins longue distance sont donc à mon sens tout autant spirituelles que les cheminements sur les itinéraires de pèlerinage. Mais je sortais là des limites que j’avais moi-même définies. Et je ne disposais au départ que de 384 pages.
Je voulais que ce livre s’intitule « Chemins vers le Sacré », pour éviter toute contestation autour de la terminologie employée. Mon éditeur a choisi un autre titre. Je pense que nous assistons depuis le début du troisième millénaire, et tout particulièrement depuis les années 2010, à une quête de sens et de spiritualité. J’ai discuté avec de nombreux pèlerins. J’ai souhaité écrire un livre qui s’adresse à tous les profils que l’on rencontre sur les chemins, car une majorité ne part pas avec des motivations de pèlerinage religieux. Beaucoup s’élancent plutôt en quête de réparation, de transformation, de réponse, d’humanité, d’authenticité et de fraternité. Et c’est bien là l’atmosphère que cherchent à reconstituer les marcheurs des chemins européens lorsqu’ils rentrent dans leurs pays respectifs. Et la motivation première de ces caminos Compostelle-like…
Membre de l’ACFAS (Association francophone pour le savoir) et conférencier lors de son 86e congrès.
Michel O’Neill m’a fait l’honneur de publier une critique de mon Guide des chemins de pèlerinage du monde sur sa page Facebook intitulée Le Serein Pèlerin. Avec son accord, je reproduis ici son analyse sans la moindre intervention. J’y ai simplement ajouté des têtes de chapitre pour en faciliter la lecture. Un grand merci à Michel qui participera du 5 au 7 avril 2019 au Forum des chemins de pèlerinage à Paris (Forum 104). Il interviendra également avec son compatriote Éric Laliberté, cofondateur du site Bottes et Vélo, dans un atelier sur le thème des Pèlerins du monde que j’aurai l’honneur d’animer.
Introduction
À propos de l’ouvrage de Fabienne Bodan «Guide des chemins de pèlerinage du monde», Rennes, Éditions Ouest-France, 472 pages, 2018. En librairie au Québec : 59,99$ plus taxes. En commande directe auprès de l’auteure depuis le Québec : autour de 65$ (http://cheminsverslesacre.com/, copie dédicacée).
À la toute fin de 2018 paraissait cet ouvrage remarquable qui fera sans doute époque. Je l’analyse ici du double point de vue d’un marcheur et sociologue québécois qui s’intéresse à ce que j’ai appelé la marche pèlerine (https://www.pulaval.com/…/la-marche-pelerine-quebecoise-dep…). J’ai forgé cette expression pour désigner la longue randonnée en milieu habité mise à la mode par la recrudescence de popularité du pèlerinage vers St-Jacques-de-Compostelle vers la fin des années 1980, afin de faire ressortir que ce type de longue randonnée n’a plus nécessairement comme destination un sanctuaire sacré, religieux ou non, comme l’est encore le pèlerinage. Je parle d’abord de la facture du livre puis de son organisation pour, finalement, m‘attarder à son contenu.
Plutôt qu’un guide, un répertoire…
C’est sans contredit un très «beau livre» : papier glacé, couleur, photographies spectaculaires et des dizaines de cartes originales par Morgane Gransard, remarquables à la fois pour leur clarté et leur esthétisme. Le titre en est toutefois un peu trompeur : ni le poids de l’ouvrage, ni son degré de précision ne permettent de l’utiliser comme outil de marche sur le terrain, ce que l’expression «guide» pourrait porter à penser. Ce n’était vraisemblablement pas son intention et peut-être que le mot «répertoire» aurait été préférable car l’ouvrage fournit suffisamment d’information pour permettre au marcheur potentiel de repérer les ressources nécessaires à la planification détaillée de son périple. C’est de fait une sorte de catalogue qui, même s’il ne prétend pas à l’exhaustivité, élargit de manière extraordinaire l’horizon des parcours auxquels, tant le marcheur que toute personne intéressée par la marche pèlerine de n’importe où sur la planète, peut s’intéresser.
Un ouvrage en trois parties
Pour ce faire, l’ouvrage est divisé en trois parties : une première où l’on trouve d’entrée de jeu un mode d’emploi de l’ouvrage, un sommaire et une introduction. Dans la seconde, de loin la plus considérable, est offerte, continent par continent (Europe, Asie, Amérique, Océanie, Afrique), la description des presque 800 parcours répertoriés. Dans la troisième, à la fin, divers outils sont proposés permettant de naviguer facilement dans l’ouvrage ou de pousser plus loin la documentation des parcours qui ont suscité notre curiosité. On y trouve une liste des cartes, une bibliographie, une liste en 35 pages de tous les chemins couverts avec une phrase le résumant. Mais aussi des pictogrammes quant aux types de personnes qui peuvent le parcourir (marcheur, cycliste, cavalier ou marin) et la page où le retrouver. Des remerciements. Des indications sur comment des sites internet démarrés par l’auteure complètent l’ouvrage.
Se retrouver est un jeu d’enfant, à un bémol près…
Et, finalement, une table des matières en quatre pages où tous les chemins sont accessibles d’un rapide coup d’œil. Un code de couleurs sur la tranche du livre facilite encore plus sa consultation. L’ensemble des outils reprenant toujours le même ordre de présentation, s’y retrouver est donc un jeu d’enfant. À un bémol près : on annonce d’entrée de jeu (p.4) que les adresses internet de la plupart des chemins sont disponibles. Mais cela prend un certain temps avant de réaliser qu’elles se retrouvent dans la bibliographie. Si cette dernière n’avait inclus que les ouvrages papier ou les sites généraux, et si l’adresse internet de chaque parcours avait été mentionnée soit lorsqu’il est traité dans le corps du texte, soit dans la liste de 35 pages les résumant tous, cela en aurait facilité la consultation.
Une quête existentielle pour point de départ
Au contenu maintenant. L’introduction est écrite comme le reste de l’ouvrage dans le style précis, concis et attrayant de la journaliste d’expérience. Elle nous explique ce qui, dans sa vie personnelle et professionnelle, a suscité le désir de se lancer dans l’entreprise un peu folle de cet ouvrage immense. Comme pour beaucoup de pèlerin-es, une sorte de quête existentielle, souvent un peu diffuse, la propulse en 2012 sur la Via Podiensis des chemins de Compostelle. Elle y retournera à plusieurs reprises par la suite. Elle y consacre maintenant (en partie, NDLR) sa vie professionnelle, en élargissant son horizon à l’ensemble des chemins de pèlerinage de la planète. Le sociologue en moi aurait aimé un peu plus de détails sur sa définition de «sacré» et de «chemin de pèlerinage». De même que sur la manière dont elle s’y est pris pour repérer les presque 800 chemins retenus et pour décider d’inclure ou non dans son livre les parcours ainsi trouvés. Comme il n’y a aucune «… prétention à l’exhaustivité (p.9)» et comme le livre est déjà un véritable coffre aux trésors d’information, c’est toutefois un moindre mal.
Une ouverture aux autres cultures, traditions religieuses ou approches du sacré
La description des chemins, présentée par continent, suit toujours la même logique : d’abord les chemins qui parcourent plusieurs pays suivis des chemins à l’intérieur des pays. Quelque 415 pages sont dévolues à la description de ces itinéraires, parfois détaillée, parfois plus synthétique, toujours concise et informative. Près de 60% sont consacrées à l’Europe, l’origine française et chrétienne de l’auteure ayant inévitablement joué. Cela laisse néanmoins plus de 40% d’itinéraires non-européens, témoignant de sa réelle ouverture aux autres cultures, traditions religieuses ou approches du sacré. En sus des descriptions et des cartes, on retrouve fréquemment des encarts «en pratique», qui donnent des détails plus précis pour qui veut davantage d’information afin de pérégriner sur tel ou tel itinéraire, de même qu’une nomenclature de certains «lieux sacrés» qui le jalonnent.
20 pages consacrées aux chemins québécois
Pour l’Amérique du Nord, près de 20 pages sont consacrées aux divers chemins québécois (deux pour les chemins ailleurs au Canada et 10 pour ceux aux États-Unis…). Comme c’est un sujet que je connais bien, il m’a permis de mesurer jusqu’où l’auteure comprenait ce qui se passe dans un endroit qui n’est pas sa France natale. À quelques petites erreurs près, le test est réussi haut la main. Il permet de croire que le même degré de précision et de fiabilité a été appliqué dans le reste de l’ouvrage, ce qui est fort rassurant. Aux personnes du Québec qui souhaitent élargir la palette des itinéraires où elles pourraient pratiquer la marche pèlerine à travers le monde, il offre ainsi de fabuleuses possibilités tout en permettant aux gens de l’extérieur de préparer leur séjour québécois en comprenant les divers types d’itinéraires qui s’y offrent à eux.
Un regret : l’absence d’une version électronique
En conclusion, un des inconvénients de tout répertoire papier demeure qu’aussitôt imprimé il n’est plus à jour, la situation évoluant sans cesse surtout quand on fait le choix de prendre la planète comme territoire à couvrir. On peut donc déplorer que l’éditeur n’ait pas choisi de faire aussi une version électronique de l’ouvrage, plus facile à mettre à jour et à acheter quand on vit hors de la France. Attendu son statut de langue internationale qui permettrait d’élargir très significativement le public lecteur de ce livre dont je ne connais aucun équivalent ailleurs, une version dans la langue de Shakespeare connaîtrait sans doute un vif succès. Finalement, comme l’auteure a mis sur pied, en complément au livre, un site internet et une page d’échanges multilingues sur Facebook pour lesquels elle a de grandes ambitions, cela lui permettra au besoin de faire des corrections ou la mise à jour de certaines informations en plus d’offrir un espace international d’échanges sur la marche pèlerine.
On ne peut donc que saluer bien bas la parution de l’ouvrage et de ses compléments internet en s’émerveillant de la quantité titanesque de travail accompli par l’auteure dans un laps de temps somme toute fort limité. À lire à tout prix donc, où que vous soyez sur la planète, si la marche pèlerine vous intéresse.
Michel O’Neill Le Ser(e)in pèlerin Chercheur autonome membre de la Chaire Jeunes et religions, Université Laval Québec
Quelques réponses de l’auteure…
Je profite de l’outil internet pour répondre en direct à certains points soulevés très justement par Michel.
L’emploi du terme « Guide ». Il est relatif aux informations résolument pratiques qu’il contient. Mais en aucun cas, je n’imaginais que mes lecteurs puissent l’emporter avec eux sur les chemins ou en voyage. C’est un ouvrage que l’on consulte chez soi, bien confortablement installé. Il a pour vocation de susciter de nouvelles envies de voyages et de cheminements vers le Sacré.
Les adresses internet de la plupart des chemins. J’admets tout à fait la critique de Michel à ce sujet. Si nous avons décidé avec l’éditeur de concentrer toutes ces URL à la fin de l’ouvrage dans la bibliographie, c’est pour une raison simple. Si nous devions effectuer une mise à jour de cet ouvrage et en publier une deuxième édition, il serait beaucoup plus facile d’actualiser toutes ces données, somme toutes volatiles, concentrées dans ces quelques pages. Dans le cas contraire, il faudrait corriger chaque page, ce qui engendrerait un surcroît de travail pour les maquettistes. C’est aussi pour cette raison que nous avons décidé de ne pas citer les coordonnées des créateurs de chemins (téléphones, e-mails). Un bon compromis pouvait être d’intégrer les URLs des sites web dans les 35 pages listant les chemins de manière synthétique.
Près de 60% sont consacrées à l’Europe, l’origine française et chrétienne de l’auteure ayant inévitablement joué. Non, c’est tout simplement parce que sur certains continents il y a beaucoup moins de chemins de pèlerinage, du moins ne les ai-je pas trouvés. En outre, l’accès à l’information n’est pas toujours aisé, et le temps et la place dont je disposais (au départ 384 pages) ne m’ont pas permis de pousser plus loin mes investigations, du moins pour cet ouvrage. Et parfois, il n’existe pas de traditions de pérégrination au long cours vers les sanctuaires. Je n’ai retenu, sauf exceptions, que les itinéraires dont la distance excède les 100 kilomètres.
Version électronique de l’ouvrage. Elle relève du seul choix de l’éditeur. En effet, j’ai constaté la difficulté pour les résidents non-européens de se procurer l’ouvrage. J’essaye d’expédier des exemplaires dédicacés à ceux qui m’en font la demande, mais nous nous heurtons aux frais de virement internationaux rédhibitoires eu égard au prix du livre.
Mise à jour de l’ouvrage. Selon moi, on ne peut plus à l’heure actuelle écrire un livre ou fabriquer un quelconque produit sans l’accompagner d’un site web et d’une présence sur les réseaux sociaux. Tout cela représente un énorme travail supplémentaire, surtout quand l’auteur-e se charge de l’ensemble. Ce qui est mon cas. Je réfléchis à l’usage du site qui accompagne le guide, Chemins vers le Sacré, pour les mises à jour du guide. Toutes les suggestions, tant sur le fond que sur la forme, sont les bienvenues.
Espace international d’échanges sur la marche pèlerine. Tout reste à construire. Mais l’idée d’une plateforme internationale commune me semble évidente. Il faudra cependant trouver soit des bénévoles soit des financements pour mener ce projet à bien.
Versions de l’ouvrage en d’autres langues. À commencer par l’anglais. C’est mon voeu le plus cher. Le positionnement de l’ouvrage, et l’engouement des anglophones du monde entier pour les chemins de pèlerinage justifierait en effet la traduction de cet ouvrage en anglais, mais aussi en d’autres langues. Là aussi, cela relève de la volonté et de la décision de l’éditeur. Tout dépendra certainement du succès du guide dans sa version française.